Penser la foule : Freud, Sartre, Negri, Girard: La transparence est l'obstacle, II

dc.careerEscuela de Filosofíaes
dc.category.authorprincipales
dc.contributor.authorVinolo, Stéphane
dc.countryEcuadores
dc.date.accessioned2023-11-04T21:20:32Z
dc.date.available2023-11-04T21:20:32Z
dc.date.issued2018-02
dc.dedication.authorTCes
dc.description.abstractLes collectifs spontanés sont divers : foules, masses, multitudes, groupes. Contre la vision classique de leur fondation par la reconnaissance commune d'un point qui leur est externe (ennemi, chef, Dieu), l'auteur montre qu'ils obéissent à une seule logique : une méconnaissance de la structure collective qui prend la forme d'une « désocialisation désindividualisante ». Plus nous nous éloignons des autres individus, plus les liens se resserrent. C'est en cherchant à échapper au collectif que nous le renforçons. Il y a donc en leur coeur une structure oraculaire et tragique selon laquelle c'est en cherchant à éviter notre destin que nous le réalisons.es
dc.facultyCiencias Filosóficas y Teológicases
dc.id.author1757079973es
dc.id.type1es
dc.identifier.isbn9782343137926
dc.identifier.urihttps://repositorio.puce.edu.ec/handle/123456789/4028
dc.list.authorsVinolo, S.es
dc.reviewed.peersyes
dc.rightsOpenAccesses
dc.subjectFilosofíaes
dc.subjectSociologíaes
dc.titlePenser la foule : Freud, Sartre, Negri, Girard: La transparence est l'obstacle, IIes
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